Le Récit du voyage Urbain / Urban road trip
à quattre pattes dans un parc, allongé à Traffalgar square.
La recherche d’un objet - sous estimé – oublié, perdu, caché.
Je me disais la mort, je me suis soufflé la possibilité des ruines
De l’enfances, je me suis dit l’amour, mais ce n’était pas
Ce qu’ils cherchaient, ce n’était pas ce don’t elles manquaient.
L’objet avait lui-même perdu son sens, son ailleurs,
Ou plutôt le leur.
Je me glissais parmis eux, mais nous étions alors
Face à l’impossible de mesurer cette même impossibilité.
Nous étions des cloportes cloitrés entre un sol, un ciel,
Et quatres murs d’une largeur et d’une hauteur interminable.
Des bêtes qui se grattaient l’âme, des ânes.
Le sens du commun m’échappait, et il me semblait qu’à eux aussi.
Mais rien ne le prouvait.
Ils ne disaient rien. Ils étaient mon process et je semblais
Vouloir faire le leur. Je les croyais mon miroir,
Mais mon innocence me cachait-elle la volonté de porter
Ces costumes, et non leur poid?
Peut-on être libre différemment? Peut-on s’entendre à l’espagnole?
Moi l’étranger, eux l’ennui, moi débloqué, eux destines.
L’absurde et l’abstrait de ces supposes divisions
Me poussaient vers l’inconnu, celui meme qui me tendait ce miroir.
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