Tous a vos machines à écrire - il est temps de répandre la nouvelle.
Le Courrier International diffuse, dans le cadre d'une série spéciale sur la litter@ture un article de Trouw, des Pays-Bas, sur le "culte de l'amateur" (cliquez ici).
Nous sommes bien placé pour nous énerver, moi et mon présent mystèrieux, 'moi et mon autre voyeur', un autre autrement cherché. Le double sens de la création s'écarte d'une logique de haut en bas, de bas en haut et alors on voyage, nous pauvres êtres perdus du 21ème siècle dans notre soupe de savoir sombre semé dans la solitude de nos soirées de séparatistes virtuels.
Comme l'ironie est sweet que
Internet, nouvel instrument culturel. Il n'est pas innocent, mais ce n'est pas la grotte caverneuse qui mène à l'ogre apocaliptyque du feu. Le feu qui brûlerait nos feuilles d'acier. Le feu qui brûle un invisible a pleines dents. Le feu du labyrinthe ou s'est perdu l'écriture de mes autres et l'écrivain de bonnes lettres.
Ou est-elle rendue l'écriture, où est-il l'écrivain?
Quel est le marché pour l'écrivain, pour vos romans, pour vos personal diaries même? ou se termine la jetée de la pluie, ou commence cette falaise si ridicule et vide d'interet qu'elle nous semblerait trop facile. Facile comme la note aigue d'un cri.
Où s'écrasent, c'est la question, vos avions en papier? Où s'épavillonent les bouteilles misent à la mer? Où se poser? Comment poser?... Pause.
On parlerait même de non-roman...
Je pense au film l'An 01,
lorsqu'il est imaginé que tout le monde publie ses pensées et qu'on prend le temps de se lire,
de s'écrire, de creuser notre petit trou, notre petite cachette.
"on arrête tout, on réféchit" - ça sonne tellement faux dans l'église académique lorsque tout le monde est là pour le scander. "Rien" est un terme horizontal qui se heurte à la verticale d'une paroie trop creuse et vide elle-même d'une liberté au contraire constemment politisée a la perfection. "Rien" est un nous relié par un espace commun, des liens sonores, des tableaux esthetiquement inconnu.
"Rien" est, a jamais, un tout multiple que nous développons car il n'en faut pas beaucoup pour l'infini, mais il est infiniment trop de faire. Jusqu'à la mort qu'il semblerait que certains réservent pour leur pierre froide de sueur et de gloire à réprimer l'essence continue du souffle de l'autre.
Pour moi mon rien commence dans le cimetière Montmartre, ou des statues multi-formes et des créations humaines présentes de leur diversité s'éparpillent dans une marche silencieuse, un moment de calme en plein tourbillon urbain, un poème écrit au fur-et-à mesure de notre silence, au fur-et-à mesure qu'on se mesure à la prose du respect et de la mémoire.
L'écriture est peut-être notre seul mal infini,
et ainsi se réveille nos doigts chauds et impatients
sur un clavier peu orthodoxe, peu commun, duquel
ne résonne aucune note,
Si ce n'est celle du mystère
14 March 2008
l'amateur a son blog
L'Amateur a son blog
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